samedi 30 septembre 2023

Les grands maux qui affectent l'humanité physiquement et moralement sont la dernière grande miséricorde que j'utilise envers les hommes....

Message donné par Notre Seigneur Jésus pour les élus de la fin des temps à une âme pour atteindre le cœur de chaque homme.

Ma fille, ton cœur s'attriste bien souvent à la nouvelle des grandes souffrances qui commencent à augmenter partout.

Ceux qui ont une foi faible ne comprennent pas. Nous devons être très fermes pour résister au moment de l'épreuve, et aujourd'hui beaucoup, par Ma Volonté, sont soumis à une dure épreuve.

La foi, comme l'or, est testée dans le feu pour prouver si elle est forte ou faible. Ceux qui se sont bien préparés résisteront et sortiront victorieux, mais ceux qui ont déjà montré des signes d'abandon auparavant ne pourront sûrement pas sortir victorieux.

Les épreuves, c'est la Miséricorde, pas la cruauté ou la sévérité excessive : tout est parfait en Moi et l'homme dans sa vie terrestre doit se préparer à la vie du Ciel.

Souvent, il passe toute sa vie dans l'indifférence, dans la superficialité.

Tout cela doit se payer ; nous ne pouvons pas nous laisser distraire : Je t'ai acheté à un prix élevé ! Mes souffrances ne sont pas comparables à celles d'un homme : Moi, sans péché, parfaitement Innocent, les hommes pleins de péchés, toujours coupables.

Les grands maux qui affectent l'humanité physiquement et moralement sont la dernière grande miséricorde que J'utilise envers les hommes pour qu'ils changent et les conduisent au salut. Si je les laissais seuls, sans douleurs, sans épreuves, sans tourments, ils seraient certainement la proie de l'abîme de feu.

C'est pour pouvoir les accueillir dans mes bras et ne pas avoir à les rejeter ! Tout se paie, tout !

Si J'accordais la sérénité et le bien-être physique et moral, l'âme continuerait à vivre dans la faim, dans l'indifférence, dans la faiblesse : mais Je ne le permets pas, parce que dans de telles conditions, il n'y aurait pas d'espoir de salut !

Par le feu, parfois brûlant, de la souffrance, l'âme, qui ne se rebelle pas et ne blasphème pas, se purifie en partie, puis continue à le faire au Purgatoire, où elle finit d'expier ses péchés.

Voudrait-on que l'homme pense à son âme,.... Que la mort des saints est belle, [...] Je soulage leur douleur* ; la dernière dette que l'homme doit à Dieu, je l'atténue : la Mère caresse doucement le front du mourant, les anges et les saints, ses amis, courent autour du lit de la créature, où l'âme est sur le point de se détacher du corps. Tout est paix et sérénité. Préparez-vous à temps par une vie sainte, si vous voulez mourir en paix et venir immédiatement dans mes bras, ô hommes qui ne voulez pas souffrir, mais qui vous faites souffrir vous-mêmes par votre folie !

Mes bien-aimés, vous le savez déjà : Je suis toujours à vos côtés, je vis en vous et vous m'appartenez. Aidez les hommes à comprendre que tout ce qui vient de Moi est le fruit de l'Amour, d'un Amour grand et infini qui utilise aussi et surtout la souffrance pour sauver une âme qui autrement n'aurait aucun espoir de salut ! Je fais tout par amour, Je permets tout par amour ! Que les hommes le sachent.

Je t'aime. Immensément je t'aime !

Jésus .

*douleur = la douleur de la mort est la dernière dette sur terre à payer à Dieu.

Source : ➥ t.me/paxetbonu